lundi 31 août 2009

En route vers Ardinet






Notre village à Ardinet

La chambre à coucher

La tente collective


Toilettes sèches

elles sont belles nos toilettes non ?

La salle de bains

La vue depuis la baignoire

Bon anniversaire Samuel !


C'est pas beau ça ?
Fêter ses 17 ans le jour e l'arrivée en colo !

Quelques jours plus tard ce sera le tour de Nina et de Jonathan.
Bon anniversaire à tous !

Mais non Nina, t'es pas vieille !

Jonathan, ou l'art de manger du chocolat sans peur et sans reproches.
Et puis d'abord je fais ce que je veux, c'est mon anniversaire !

Escalade à Oloron

La météo a rendu l'escalade sur rochers impossible pour des raisons de sécurité : roches trop glissantes. Mais il en faut plus pour arrêter Candice, notre artiste de l'escalade !
Nous voilà donc au mur d'escalade d'Oloron Sainte Marie. Un haut lieu de la grimpe (c'est le cas de le dire !). Un moment de pur plaisir.
Merci à l'Association Le Mur pour son accueil.

Mise au point sur le matériel avec Candice, chef d'orchestre de la journée.



Mais non j'ai pas peur



La force tranquille


Je suis quand même plus à l'aise avec un âne...

David et Bérangère nous invente un style... particulier !





Pour en savoir plus sur ce lieu hors du commun, voilà le site du Mur :
http://www.lemuroloron.com/


En construction

Un peu de patience, le blog sera bientôt fini !

J'aime l'âne si doux


J’aime l’âne si doux
marchant le long des houx.

Il prend garde aux abeilles
et bouge ses oreilles ;

et il porte les pauvres
et des sacs remplis d’orge.

Il va, près des fossés,
d’un petit pas cassé.

Mon amie le croit bête
parce qu’il est poète.

Il réfléchit toujours.
Ses yeux sont en velours.

Jeune fille au doux cœur,
tu n’as pas sa douceur :

car il est devant Dieu
l’âne doux du ciel bleu.

Et il reste à l’étable,
fatigué, misérable,

ayant bien fatigué
ses pauvres petits pieds.

Il a fait son devoir
du matin jusqu’au soir.

Qu’as-tu fait jeune fille ?
Tu as tiré l’aiguille...

Mais l’âne s’est blessé :
la mouche l’a piqué.

Il a tant travaillé
que ça vous fait pitié.

Qu’as-tu mangé petite ?
— T’as mangé des cerises.

L’âne n’a pas eu d’orge,
car le maître est trop pauvre.

Il a sucé la corde,
puis a dormi dans l’ombre...

La corde de ton cœur
n’a pas cette douceur.

Il est l’âne si doux
marchant le long des houx.

J’ai le cœur ulcéré :
ce mot-là te plairait.

Dis-moi donc, ma chérie,
si je pleure ou je ris ?

Va trouver le vieil âne,
et dis-lui que mon âme

est sur les grands chemins,
comme lui le matin.

Demande-lui, chérie,
si je pleure ou je ris ?

Je doute qu’il réponde :
il marchera dans l’ombre,

crevé par la douceur,
sur le chemin en fleurs.

Poème de Francis Jammes


dimanche 30 août 2009

F comme en Forme et comme Fatigue

Très en forme

en forme

fatigue...

Nuit à la belle étoile à trois

Martin, Morgan et David, qui est qui ?


Le papier peint de la chambre au réveil

ca s'agite en cuisine !

A l'Abérouat...

A Boué en intérieur...

A Boué en terrasse.

Chut ! passez sans faire de bruit...


Martin ou l'art de profiter de l'instant présent.

Tartes aux myrtilles à Boué

Préparation...

Cuisson...

Retournement... et bon appétit !

De la patisserie de haut niveau !
Cueillette des myrtilles dans le brouillard puis fabrication maison à la cabane. Elle était parfaite notre première tarte ! Alors on en a fait une seconde, pour le petit déjeuner. Sauf que pendant la nuit, c'est une souris qui en a profité...
Règle numéro 12355 bis du guide du randonneur : toujours couvrir les aliments dans une cabane.

Fabien le jardinier


Alors Fabien, elles poussent ces myrtilles ?
Bonne route à toi aussi petit jardinier.

le 95 clash le 64 ou l'inverse ?

Le choc des titans : 95 à casquette, caillera des villes face à 64 à béret caillera des montagnes !
Engueulades et rigolades.
Ca tombe bien ça rime.
Monsieur et Madame Ponpon ont un fils, comment s'appelle-t-il ?
La réponse c'est un petit gars qui ne peut pas choisir hier mais qui peut choisir demain.
Chek mon copain, et fait nous rêver avec ta cuisine !

Et 95 à casquette, au fait, papi fait toujours de la résistance !
Peut être à bientôt sur les sentiers.
Adishatz bonhomme.

On a perdu le sentier...

"Tu te souviens quand je t'avais dit qu'on avait perdu le sentier ?"
Cette question est devenu un des piliers de notre itinérance. Pourquoi ? Parce qu'un type dénommé Nicolas nous a fait découvrir les deux minutes du peuple.



Et puis on a eu un hymne "les petites bêtes"... Et voilà, pas au top du naturalisme, mais ça nous a tellement fait rire qu'elle mérite sa place ici :